J'ai beau me dire , comme Rousseau ( faudra sérieusement rajouter des avenants à ton contrat ducon) ou bien ce bâtard de Voltaire; qu'on aime les tartares à défaut d'aimer ses voisins; mais voila il y a des voisins pas très aimables et des tartares qu'on aime sans expliquer pourquoi.
Alors à défaut d'aimer mon voisin , à défaut de connaitre des tartares, à défaut d'être le média de moi même, je me laisse emporter comme des millions de gens et je me sens obligé de faire la fête puisque il m'est permis de le faire en pensant aux gazaouis, au Malawi, à Mogadicho, à Albert du Boulvard Voltaire et Titi Awawouech de Miliana
Bonne année.
Ne dites pas : la vie est un joyeux festin ;
Ou c'est d'un esprit sot ou c'est d'une âme basse.
Surtout ne dites point : elle est malheur sans fin ;
C'est d'un mauvais courage et qui trop tôt se lasse.
Riez comme au printemps s'agitent les rameaux,
Pleurez comme la bise ou le flot sur la grève,
Goûtez tous les plaisirs et souffrez tous les maux ;
Et dites : c'est beaucoup et c'est l'ombre d'un rêve.
Jean Moréas
mercredi, décembre 31, 2008
l'ombre d'un rêve
Publié par rifech à 9:52 PM
Libellés : Jean Moréas
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